Lundi 5 avril
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/Avr
18:02
Par Phelin Majordome zêlé
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Publié dans : Votre Majordome dévoué, Belle Anaïs
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Jeudi 1 avril
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12:40
Par Phelin Majordome zêlé
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Vendredi 19 mars
5
19
/03
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18:07
Mon Anaïs,
As-tu eu mon premier message, sur ma venue dans le Nord Lundi ? Il semble que non. De quelle satané adresse l'aurai-je envoyée - ou l'ai-je rêvée ?
Oui, j'ai confirmation de ma venue... et j'étais prêt à essayer à nouveau de te voir enfin.
La vie de famille est là, tu dois être prise, mais l'idée de te voir, des yeux, du bout des doigts... me trotte toujours en tête, sois-en sûre.
Mes sens sont fidèles à ta dessens - on dirait !
Je caresserai lundi la douce idée de te croquer
Tant pis, je rongerai mon Os de Dionysos,
qui pourtant est destiné à tes morçures de l'ombre,
ma Chienne et Maîtresse Divine !
Par Félin Majordome zêlé
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Publié dans : Votre Majordome dévoué, Belle Anaïs
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Jeudi 18 mars
4
18
/03
/Mars
14:44
Je viens moi aussi de cette époque épistolaire, Eden perdu, où à l'issue d'une attente fébrile, le passage du facteur nous délivrait une
lettre,
jouissance de lire les mots espérérés
plutôt que choc frontal sur des images trop vite arrivées
Extase de nos doigts guidés par la plume, explosion d'images mentales au creux de nos reins...
Par Félin Majordome zêlé
1
Mardi 16 mars
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16
/03
/Mars
18:04
"On dit que les jeunes putes font les vieilles bigotes. Ce n’est pas mon cas. Je suis devenue pute très tôt et tout ce qu’une femme peut faire
dans un lit, sur une table, une chaise, un banc, contre un mur ou dans l’herbe, dans l’encoignure d’une porte ou dans une chambre de passe, dans le train, dans une caserne, au bordel ou en prison,
je l’ai fait. De tout cela je ne regrette rien. Aujourd’hui que j’ai pris de l’âge, le plaisir n’est plus ce qu’il était ; je suis riche, fanée, et souvent seule. Mais il ne me viendrait pas à
l’idée, bien que j’aie toujours été croyante et même pieuse, de faire à présent pénitence. Je suis née dans la pauvreté, la misère, et je dois tout à mon corps. Sans ce feu que j’avais en moi, qui
s’est allumé tôt et qui m’a permis de m’exercer encore petite à tous les vices imaginables, j’aurais fini comme ont fini toutes les gamines que j’ai connues : en vieilles femmes de ménage, quand
elles ne sont pas mortes dès l’orphelinat. La merde des faubourgs ne m’a pas eue. J’ai pu lui échapper en faisant la putain ; c’est seulement ainsi que j’ai pu rencontrer des hommes distingués et
instruits."
Un livre à dévorer (d'une main) : Histoire d’une fille de Vienne racontée par elle-même de Josefine Mutzenbacher
Par Félin Majordome zêlé
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Mardi 16 mars
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/Mars
13:51
Par Félin Majordome zêlé
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Publié dans : Votre Majordome dévoué, Belle Anaïs
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Mardi 14 avril
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/Avr
15:48
«Rien n'est plus bouleversant que l'action
d'aider une femme à prendre conscience de l'extraordinaire puissance qui gît en elle ; mais rien n'est plus dangereux pour celui qui l'aide, surtout si c'est celui qui l'aime.»
[ Philippe Caubère ] - Les carnets d'un jeune homme - 1976-1981
Par Félin Majordome zêlé
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Publié dans : Votre Majordome dévoué, Belle Anaïs
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Jeudi 9 avril
4
09
/04
/Avr
16:46
LE MAJORDOME
C C7
Laisse moi rester avec toi
C7 A7
Tu n'le regretteras pas
A7 F
Je m'f'rais tout p'tit c'est promis.
F
Je s'rais votre Majordome faites comme si
C
j'étais pas là
D G
Comme quand tu pensais à lui
C
Je saurai m'rendre utile
C7
Je vous f'rais la cuisine
A7
Les carreaux, la vaisselle
F
et je sortirais l'chien
F
Vous pourrez vivre heureux
C
sans tous ces soucis futiles
D
T'auras cas t'dire que j'suis
G
Tamoul ou philippin
C C7
Même si ton amant m'répugne
C7 A7
J'tenterai rien contre lui
A7 F
J'serai souriant et discret
F G
Si j'essaie de l'égorger
G C
N’y voit là aucune rancune
D7 C
c'est sans l'faire exprès
Le soir après mon service
Je partirai sans bruit
pour qu'il te mette au lit
ou ailleurs
Tu retourneras sans moi
à nos soirée d'jadis
Je cacherai ma douleur
de peur que tu me renvoies
Je lui achèt'rai des fleurs
pour qu'il puisse te les offrir
Je lui dirai les mots
qu'il doit et ne doit pas dire
j'veux pas aider c'connard
à te conquérir
Mais ton bonheur
est le plus cher de mes désirs
Embauche-moi comme majordome
Il te rendra heureuse
grâce à tous mes conseils
Et que l'Bon Dieu me pardonne
si j'l'étouffe dans son sommeil
dans son sommeil
Penses à la joie d'ton amant
son rival transformé
en fidèle domestique
Mais qu'il prévoit des pans’ments
et une chambre à la clinique
Faut quand même pas m'prendre
pour c'que j'suis
Par Félin Majordome zêlé
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Publié dans : Votre Majordome dévoué, Belle Anaïs
2
Mardi 7 avril
2
07
/04
/Avr
16:07
Je pense à toi ma jolie
Moi seul dans mon lit
Ma main soutenant tes souvenirs
Des galipettes que nous n'avons pas faites
Et dehors, inlassablement
Les cigales crient leur chant d'agonie
Encore une fois pour me contenter
Personne ne voulant soulager mon égoïsme
C'est moi, de mes doigts
Qui t'étreindrai, mon corps,
Ce corps aux détails familiers,
Je pourrais en donner, des cours pour me faire jouir !
S'il faut payer pour m'accomplir
Je payerai, soyez-en sûr !
Mais ma revanche viendra
Et près de celle qui aurait dû
Ce soir être avec moi
Je le crierai le jour où ça arrivera
Je te tiens entre les reins, salope !
Et alors là, même ta mère n'y pourra rien
Papillon épinglé de ma collection
Je te transpercerai au plus profond
Mes entrailles jailliront en toi
Et je pourrai mourir,
Enfin assouvi,
Et me reposer et dormir,
Enfin comblé !
Par Félin Majordome zêlé
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Publié dans : écrits rebels d'une jeunesse partie
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Mardi 7 avril
2
07
/04
/Avr
15:07
Marquis défroqué,
Révolutionnaire des sexes
Libertin raffiné,
Reveur, voyeur,
Jouisseur de tous et pour les genres, ancien "homme de joie".
De cette longue expérience et par choix du coeur, je suis devenu homme de confiance d'Anaïs, rencontrée lors de chasses mémorables à la Gazelle en d'autres lieux dont nous sommes
désormais bannis. Bienheureux éxil forcé !
Je l'ai donc suivie ici, où je souhaite approfondir ce lien et l'enrichir de rencontres intéressantes, intellectuelles et délicieuses - à la condition Première que ces plaisirs respectent ce Tendre
attachement fidèle et fou.
Anaïs, ma Divine idyle, mon guide d'Erog.
Ainsi, je suis devenu son Majordome. Je régente donc avec zêle les cuisines et l'anti-chambre
de son Donjon des Supplices et des Délices.
Seul moi peut superviser (parfois en sa présence très active) la préparation au dressage et aux corvées de ses soumises et valets - une fonction dont je m'acquite avec grand zêle, vérifiant
scrupuleusement que le projet des candidats plaira aux goûts d'Anaïs... ou l'étonneront avec délice (elle aime aussi les situations dangereuses ou perdre ses tabous).
Pour ses atours, je suis maniaque de ses fétiches, seul habilité au bon nettoyage de ses
objets et jouets, graissage des cuirs, lustrage de l'acier. Ces menues tâches ne sont jamais si bien accomplies que par moi, accroupi en queue de pie. Les servantes excitées se caresseront rien
qu'à y penser, seul dans leur chambrette...
J'ordonne et classe ses habits, inspecte la bonne mise en place du Donjon, je conduis Divine à ses séances de shopping, elle a confiance en mes conseils en visite sur les salons ou ventes
privées...
J'ai aussi la délicieuse obligation de dénoncer les manquements aux règles de la part des subalternes. Ce n'est pas le plus beau de ce travail, mais cela crée une complicité très perverses entre
les soumises et moi. Mais quels que puissent être leurs cadeaux pour tenter de soudoyer mon oeil de félin, je prends leurs offrande mais reste intransigeant. en retour. Il faut alors payer la
bassesse d'avoir cru me corrompre en plus du délit à expier ! Et ça n'est qu'une étape avant le Grand moment des punitions où je regarde faire Maîtresse et ses amies .
Sauf bien sûr si à sa demande, je ne devienne son "bras armé", cruel et ému fourrageant pour elle, manipulant les instruments, et donnant de ma personne sans compter. Cela arrive souvent, elle sait
que c'est apprécié de tous !
Je révèle alors ma nature cruelle et enragée de félin en rut - ce qui souvent la fait rire,
mais toujours la fait mouiller - et dont bien souvent elle abuse pour elle-même, dans l'intimité sulfureuse et ambigüe qui nous unit, au-delà de ce que je n'oserait avouer...
Je mouille et lubrifie également les orifices de ses sujets les plus froids - vérifiant que la subtilité du scénario - ou la seule vue de Maîtresse nous les a bien excité comme nous
l'entendons.
Ma grande qualité, réside dans ma capacité à rendre "de bois" les étalons d'Anaïs. Elle
connait mon goût des hommes, apprécie le contur fendu de mon abricot, combien avec souplesse il s'ouvre aux mâles et, telle une ventouse, aspirer leur hampe pour en presser le jus, leur vidant les
bourses jusqu'à la dernière goutte, en vraie femelle accomplie !
Notre bisexualité en commun fait que ses meilleures saillies viennent des pur-sang qui déjà ont cette capacité à ressentir un sincère plaisir vicieux à prendre ma bouche.
Je peux avec son accord vider leurs dernières forces à l'écurie, avant de regagner mes appartements et les laisser pour morts sur la paille.
Fourré par ces queues qui sentent encore sa chatte adorée, c'est ma façon de vider ma jalousie d'Elle, qui voudrait la sentir toujours au fond de moi, c'est ma façon de m'emplir mentalement
comme physiquement de son amour dévoreur pour voir ensuite mon trop-plein de sentimentalisme, couler comme se vide mes entrailles de leurs semances bienheureusement perdues
J'assiste donc Anaïs de ton mon coeur, de tout mon corps, et loin l'un de l'autre, j'aime à être destinataire de ses récits et exploits qui enflamment mes rêves d'elle, et adoucissent la douleur
horrible mais bien réelle des mondes réels qui nous séparent.
Par Félin Majordome zêlé
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Publié dans : Votre Majordome dévoué, Belle Anaïs
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