Mardi 7 avril
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15:07
Marquis défroqué,
Révolutionnaire des sexes
Libertin raffiné,
Reveur, voyeur,
Jouisseur de tous et pour les genres, ancien "homme de joie".
De cette longue expérience et par choix du coeur, je suis devenu homme de confiance d'Anaïs, rencontrée lors de chasses mémorables à la Gazelle en d'autres lieux dont nous sommes
désormais bannis. Bienheureux éxil forcé !
Je l'ai donc suivie ici, où je souhaite approfondir ce lien et l'enrichir de rencontres intéressantes, intellectuelles et délicieuses - à la condition Première que ces plaisirs respectent ce Tendre
attachement fidèle et fou.
Anaïs, ma Divine idyle, mon guide d'Erog.
Ainsi, je suis devenu son Majordome. Je régente donc avec zêle les cuisines et l'anti-chambre
de son Donjon des Supplices et des Délices.
Seul moi peut superviser (parfois en sa présence très active) la préparation au dressage et aux corvées de ses soumises et valets - une fonction dont je m'acquite avec grand zêle, vérifiant
scrupuleusement que le projet des candidats plaira aux goûts d'Anaïs... ou l'étonneront avec délice (elle aime aussi les situations dangereuses ou perdre ses tabous).
Pour ses atours, je suis maniaque de ses fétiches, seul habilité au bon nettoyage de ses
objets et jouets, graissage des cuirs, lustrage de l'acier. Ces menues tâches ne sont jamais si bien accomplies que par moi, accroupi en queue de pie. Les servantes excitées se caresseront rien
qu'à y penser, seul dans leur chambrette...
J'ordonne et classe ses habits, inspecte la bonne mise en place du Donjon, je conduis Divine à ses séances de shopping, elle a confiance en mes conseils en visite sur les salons ou ventes
privées...
J'ai aussi la délicieuse obligation de dénoncer les manquements aux règles de la part des subalternes. Ce n'est pas le plus beau de ce travail, mais cela crée une complicité très perverses entre
les soumises et moi. Mais quels que puissent être leurs cadeaux pour tenter de soudoyer mon oeil de félin, je prends leurs offrande mais reste intransigeant. en retour. Il faut alors payer la
bassesse d'avoir cru me corrompre en plus du délit à expier ! Et ça n'est qu'une étape avant le Grand moment des punitions où je regarde faire Maîtresse et ses amies .
Sauf bien sûr si à sa demande, je ne devienne son "bras armé", cruel et ému fourrageant pour elle, manipulant les instruments, et donnant de ma personne sans compter. Cela arrive souvent, elle sait
que c'est apprécié de tous !
Je révèle alors ma nature cruelle et enragée de félin en rut - ce qui souvent la fait rire,
mais toujours la fait mouiller - et dont bien souvent elle abuse pour elle-même, dans l'intimité sulfureuse et ambigüe qui nous unit, au-delà de ce que je n'oserait avouer...
Je mouille et lubrifie également les orifices de ses sujets les plus froids - vérifiant que la subtilité du scénario - ou la seule vue de Maîtresse nous les a bien excité comme nous
l'entendons.
Ma grande qualité, réside dans ma capacité à rendre "de bois" les étalons d'Anaïs. Elle
connait mon goût des hommes, apprécie le contur fendu de mon abricot, combien avec souplesse il s'ouvre aux mâles et, telle une ventouse, aspirer leur hampe pour en presser le jus, leur vidant les
bourses jusqu'à la dernière goutte, en vraie femelle accomplie !
Notre bisexualité en commun fait que ses meilleures saillies viennent des pur-sang qui déjà ont cette capacité à ressentir un sincère plaisir vicieux à prendre ma bouche.
Je peux avec son accord vider leurs dernières forces à l'écurie, avant de regagner mes appartements et les laisser pour morts sur la paille.
Fourré par ces queues qui sentent encore sa chatte adorée, c'est ma façon de vider ma jalousie d'Elle, qui voudrait la sentir toujours au fond de moi, c'est ma façon de m'emplir mentalement
comme physiquement de son amour dévoreur pour voir ensuite mon trop-plein de sentimentalisme, couler comme se vide mes entrailles de leurs semances bienheureusement perdues
J'assiste donc Anaïs de ton mon coeur, de tout mon corps, et loin l'un de l'autre, j'aime à être destinataire de ses récits et exploits qui enflamment mes rêves d'elle, et adoucissent la douleur
horrible mais bien réelle des mondes réels qui nous séparent.
Par Félin Majordome zêlé
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Publié dans : Votre Majordome dévoué, Belle Anaïs
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